Friday, March 21, 2008



Can you find the bee?

Mea culpa, j’aime bien le noir. Je préfère être dans les ombres de la société. Mais j’aime bien la lumière. Plus on éclaircit un sujet, plus on peut discerner tout ce qu’il y a sur ce sujet.

Donc, je préfère observer les sujets bien éclaircis mais de ma position dans les ténèbres. Mon destin dans la vie c’est d’être observateur. Osservatore. Les allemands ont deux mots pour noir : la couleur c’est schwartz ; mais le noir de la nuit, c’est Dunkelquelquechose. La couleur que je prends, que je préfère, c’est le noir, en m’habillant, en bagnole, en décor, en beaucoup de choses. Le blanc c’est toutes les couleurs, dit-on, si on passe la lumière blanche par un prisme ; mais le noir c’est la collection de toutes les couleurs—mélangez toutes les couleurs dans un pot et voilà, le noir. Le noir accepte toutes les autres couleurs, collectionne toutes les autres couleurs. Donc le noir c’est le plus inclusif des choix de couleurs. Mais pourquoi le blanc pour la pureté et la sainteté, et le noir pour le mal ?

Sunday, March 9, 2008





La ferme! Ou bien pour dire autrement, Ferme-la!

Ta gueule ! ou simplement, tais-toi. Fous-moi un peu la paix.

Shut up ! Or rather, S. H. U. T. U. P. !

I want to turn and viciously say it to the obnoxious, loud, grating, porcine woman with the piercing nasal voice walking up and down the aisles of the store talking on a cell phone. Shut up! Stop! It annoys me no end when strangers afflict me with their petty, meaningless conversations carried on one-sided, by cell phone, while they are in line near me, or walking anywhere near me, or sitting anywhere near me. LAISSE-MOI TRANQUILLE! Leave me alone. Go somewhere private to talk loudly on your cell phone… and not to your car to drive around talking on the cell phone. Grant H. and his wife were killed by a woman distracted by talking on her cell phone, going through a stop sign, all blithely chatting away. I excoriate the practice. I need to get a cell phone soon, though.

Le silence éternel des espaces infinies m’effraie.

Pascal